Toujours disant au revoir, ou bonne nuit;
jamais tout a fait
avec nous, jamais tout a fait parti;
balanceant sur le moment final.
Car il est plus facile d’une maniere ou d’une autre d’etre toujours
sur le point de partir, d’automne et cepusculaire demi-saison
demi-lumiere.
On peut s’attarder donc si on le veut
dans une chaise longue sur le Lido, regarder le coucher du soleil,
en attendant le fin du siecle. On peut faire sa valise et
defaire ses valises, et ne tenir compte des avertissements
que, sur les eaux, la peste suinte
le long des rues.
Quoiqu’il puisse en train de diminuer
devant vos yeux: le garconaux dents pourris,
le chateau du fou, le foret corrodant
le parc qu’on dit soit mort, vous regarderez toujours
en arriere en aveuglement et le rendez beau.
‘ Jahrhundertwende’.Bill Sewell (1951-2003) .’Contemporary New Zealand Poets in Performance’, p.88. Edited by Jack Ross and Jan Kemp.
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