Clement Marot

Ma Dame ne m’a pas vendu

Dieu gard ma Maîtresse et Régente

D’un soi défiant de sa dame

To Diane De Poitiers

Du partement d’Anne

Quand j’ai pensé en vous, ma bien-aimée

J’attends secours de ma seule pensée

Je ne fais rien que requérir

Jouissance vous donnerai

Languir me fais sans t’avoir offensée

Épigramme qu’il perdit contre Hélène de Tournon

J’ai contenté

Des trois couleurs, gris, tanné et noir

Qui veut avoir liesse

Réplique à la reine de Navarre

Secourez-moi, ma Dame par amours

Si de nouveau j’ai nouvelles couleurs

Plaisir n’ai plus, mais vis en déconfort

Pour le May planté par les Imprimeurs de Lyon

De l’abbé et de son valet

De l’absent de s’amie

De l’amoureux ardant

De l’amant marri contre sa dame

A madame de Ferrare

A une Damoyselle malade

De celui, qui est demeuré, et s’amie s’en est allée

Au roi de Navarre

A son ami lion

Adieu aux Dames de la Cour

A monsieur de Pothon

Amour et Mort m’ont fait outrage

A un poète ignorant

A un poète français

Celle qui m’a tant pourmené

Au seigneur Theocrenus, lisant à ses disciples

Aux damoiselles paresseuses d’écrire à leurs amis

Ballade de frère Lubin

Ballade de s’amie bien belle

A une médisante

De celui qui ne pense qu’en s’amie

De celui qui nouvellement a reçu lettres de s’amie

De celui de qui l’amie a fait nouvel ami

De celui qui entra de nuit chez s’amie

De celui qui incite une jeune dame à faire ami

Chant de Mai et de Vertu

De celui de qui l’amie a fait nouvel ami

A Etienne du temple

A un créancier

Sonnet de la différence du Roy et de l’empereur

D’où vient cela, belle, je vous supplie

De l’amour du siècle antique

De la rose

Du content en amours

De sa grande amie

Épitaphe de Jehan Serre, excellent joueur de farces

Je suis aimé de la plus belle

De la jeune dame qui a vieil mari

De la mort de monsieur de Chissay

J’ai grand désir

Du mal content d’amour